Sessions Parallèles 2

Fondée en 1559, l'Université de Genève se classe parmi les 100 meilleures universités au monde. Elle privilégie l'interdisciplinarité grâce à ses 9 facultés et ses 13 centres interfacultaires. Elle accueille aujourd'hui plus de 18'000 étudiantes et étudiants, venus de près de 160 pays différents. Près de 6'500 collaborateurs/trices y travaillent aujourd'hui. Comme dans beaucoup d'écoles/institutions, l'évaluation des enseignements et des programmes a été la première activité orientée qualité mise en place au sein de l'Université de Genève. Mais une fois cette étape effectuée, quelle est l'activité, toujours dans le domaine qualité, qui est la plus pertinente à mettre en œuvre : la modélisation des processus, le référencement des contrôles clés, l'analyse des risques ? Qu'est ce qui apporte au final le plus de valeur ajoutée en fonction de l'effort à effectuer ? Nous verrons ensemble pourquoi, et comment, l'Université de Genève a porté son choix sur une analyse des risques institutionnelle axée sur la transparence et la collaboration avec les différentes entités. L'objectif de cette communication est de vous apporter des éléments de réponse concrets aux questions suivantes en se basant sur notre expérience. Quels sont les requis pour lancer une activité d'analyse des risques qui ne soit pas trop compliquée et qui apporte des résultats concrets ? Comment obtenir l'adhésion des entités qui au premier abord, vont percevoir cette activité comme une procédure administrative de plus ? Quel outil utiliser et, si possible, sans investir d'argent ? Comment communiquer les résultats, à qui et sous quelle forme ? Quelles sont les erreurs classiques (que nous avons commises bien sûr) et comment nous les avons adressées ? Nous partagerons enfin avec vous notre bilan et nos perspectives dans ce domaine qui, aujourd'hui, est clairement perçu en interne, et auprès de nos partenaires, comme un élément clé de notre système d'assurance qualité.